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EN BREF Moteur à combustion interne : type de moteur explosif. Deux catégories : moteurs développant un couple et moteurs à réaction. Fonctionnement : basé sur le cycle 4 temps. Phases de fonctionnement : admission, compression, explosion, échappement. Combustion : mélange air-carburant déclenche l’énergie. Piston : cœur du moteur, convertit l’énergie en mouvement. Application : utilisés majoritairement dans les automobiles.

Introduction aux moteurs à combustion interne

Les moteurs à combustion interne (MCI) sont des merveilles d’ingénierie qui jouent un rôle essentiel dans l’industrie automobile. Ils transforment l’énergie chimique du carburant en énergie mécanique, propulsant ainsi nos véhicules. Dans cet article, nous allons explorer leur fonctionnement, en mettant en lumière les différentes étapes du cycle à quatre temps, ainsi que les principes fondamentaux qui régissent ces moteurs fascinants.

Au cœur du fonctionnement d’un moteur à combustion interne, se trouve le principe de la combustion. Ce processus engage un mélange d’air et de carburant, créant une réaction explosive qui propulse un piston. Cette explosion se produit à l’intérieur d’un cylindre, faisant bouger le piston de haut en bas. Mais qu’en est-il des différentes phases de ce cycle? Explorons-le en détail.

Le cycle à quatre temps

Le fonctionnement d’un moteur à combustion interne repose principalement sur le cycle à quatre temps, qui comprend : l’admission, la compression, l’explosion et l’échappement. Chaque phase joue un rôle crucial dans la transformation de l’énergie. Pendant la phase d’admission, le mélange air-carburant entre dans le cylindre, tandis que lors de la compression, le piston remonte et comprime ce mélange, préparant le terrain pour l’explosion explosive qui suivra.

L’explosion et la détente

Lorsque le piston atteint le point mort haut, une bougie d’allumage génère une étincelle qui enflamme le mélange comprimé. C’est à ce moment précis que se produit l’explosion! L’énergie libérée pousse le piston vers le bas, créant un travail utile qui sera transmis à un arbre à cames. Ce mouvement permet, à son tour, de faire tourner les roues du véhicule.

Le cycle d’échappement

Une fois la puissance libérée, chaque cycle doit se terminer. C’est là qu’intervient la phase d’échappement, où le piston remonte à nouveau pour expulser les gaz brûlés du cylindre. Cela se fait grâce à une soupape d’échappement qui s’ouvre pour laisser s’échapper les résidus de combustion. À ce stade, le moteur est prêt à recommencer le cycle, assurant ainsi un mouvement continu et fluide.

Les moteurs à combustion interne et leur classification

Il est important de noter qu’il existe plusieurs types de moteurs à combustion interne, classés principalement en fonction de leur fonctionnement. Parmi ces catégories, nous avons les moteurs à essence et les moteurs diesel. Les premiers utilisent l’allumage par étincelle, tandis que les seconds s’appuient sur la compression pour initier la combustion. Ces distinctions influencent grandement le fonctionnement et l’efficacité de chaque type de moteur.

En somme, les moteurs à combustion interne sont de véritables chaudières à explosions maîtrisées, transformant le carburant en mouvement. Grâce à un cycle parfaitement orchestré en quatre temps, ces machines donnent vie à nos véhicules, nous permettant de parcourir des distances avec aisance et efficacité. La maîtrise de cet art complexe reste une prouesse d’ingénierie, faisant des MCI une pièce maîtresse de l’automobile moderne.

Comparaison des Types de Moteurs à Combustion Interne

Type de Moteur	Principe de Fonctionnement
Moteur à Essence	Utilise une bougie d’allumage pour enflammer le mélange air-carburant au point mort haut.
Moteur Diesel	Emploie la compression pour chauffer l’air et injecte le carburant, provoquant une combustion.
Cycle 4 Temps	Décompose le fonctionnement en admission, compression, combustion et échappement.
Moteur à Turbine	Produits de l’énergie par des réactions de combustion tandis que les gaz échappés font tourner une turbine.
Moteur à Réaction	Éjecte des gaz à grande vitesse pour produire une poussée à l’aide de la combustion continue.

• Types de moteurs : Moteurs produisant un couple ou moteurs à réaction.
• Cycle de fonctionnement : Cycle en quatre temps pour la plupart des voitures.
• Phase d’admission : Le piston descend, aspirant le mélange air-carburant.
• Phase de compression : Le piston remonte, compressant le mélange pour augmenter sa température.
• Phase de combustion : L’allumage se produit, déclenchant une combustion rapide.
• Phase d’échappement : Le piston expulse les gaz brûlés hors du cylindre.
• Conversion d’énergie : Le mouvement du piston est transformé en travail mécanique via un arbre à cames.
• Allumage : Par bougie dans les moteurs à essence ou par auto-allumage dans les moteurs diesel.
• Émissions : Les gaz d’échappement résultent de la combustion du mélange air-carburant.
• Rendement énergétique : Une partie de l’énergie est convertie en puissance, le reste étant perdu sous forme de chaleur.

FAQ sur le fonctionnement des moteurs à combustion interne

Q: Qu’est-ce qu’un moteur à combustion interne ?
R: Un moteur à combustion interne est un système qui transforme l’énergie chimique du carburant en travail mécanique à travers le processus de combustion d’un mélange d’air et de carburant.
Q: Quels sont les principaux types de moteurs à combustion interne ?
R: Il existe principalement deux types de moteurs à combustion interne : ceux produisant un couple sur un arbre mécanique et les moteurs à réaction, qui éjectent des gaz.
Q: Comment fonctionne un moteur à combustion interne dans une voiture ?
R: Dans une automobile, le moteur fonctionne généralement sur le principe du cycle à 4 temps, qui comprend l’admission, la compression, la combustion et l’échappement.
Q: Que se passe-t-il durant le cycle de fonctionnement ?
R: Le cycle se décompose en quatre phases : l’admission du mélange air-carburant, la compression de ce mélange, la combustion et l’évacuation des gaz brûlés.
Q: Comment est déclenchée la combustion dans le moteur ?
R: La combustion est initiée lorsque la bougie d’allumage enflamme le mélange air-carburant au point mort haut, provoquant une augmentation rapide de la température et de la pression à l’intérieur des cylindres.
Q: Quel rôle joue le piston dans le fonctionnement d’un moteur à combustion interne ?
R: Le piston est un élément clé qui transforme l’énergie de la combustion en mouvement. Grâce à son déplacement à l’intérieur du cylindre, il transmet le travail à l’arbre de transmission.
Q: Pourquoi parle-t-on de « cycle à quatre temps » ?
R: Ce terme fait référence aux quatre étapes distinctes que le moteur suit à chaque rotation du vilebrequin : admission, compression, combustion et échappement.
Q: Qu’est-ce qui différencie un moteur à essence d’un moteur diesel ?
R: La principale différence réside dans la façon dont la combustion est déclenchée. Alors que les moteurs à essence utilisent un allumage par étincelle, les moteurs diesel se basent sur l’injection du combustible dans l’air comprimé, provoquant une auto-inflammation.
Q: Quels sont les avantages d’un moteur à combustion interne ?
R: Les moteurs à combustion interne offrent une grande puissance, une autonomie intéressante et une infrastructure de ravitaillement bien établie, ce qui en fait un choix populaire pour de nombreux véhicules.

Le plus grand cauchemar de tous les conducteurs automobiles demeure la panne. Celle-ci peut survenir à n’importe quel moment, et ce, à des endroits inconvenants. La réparation dans ces cas est assez pénible, notamment lorsque le lieu est éloigné de toute civilisation. C’est justement pour cette raison que plusieurs personnes recommandent le diagnostic automobile pour éviter tous ces problèmes notamment lors de l’acquisition d’un véhicule d’occasion. Découvrez sans discourir, les avantages de cette option.

L’identification rapide de panne

Autrefois, identifier une panne au niveau d’une voiture était chronophage. Dorénavant, avec un diagnostic automobile, il est possible de résoudre ce problème sans perdre du temps et sans se salir. Il faut simplement que le professionnel branche sa valise de diagnostic multimarque pour réaliser une analyse complète du système de la voiture. Le rôle de l’outil sera alors de ressortir des informations concernant les éléments qui composent le véhicule (pneumatique, système de freinage, système d’éclairage, etc.).

Le Diagnostic automobile vous serait, conséquemment, très utile lors de l’acquisition de votre véhicule (voiture d’occasion). En effet, cela vous permettra d’identifier rapidement les pannes que le vendeur tenterait de dissimuler. Il peut alors vous guider dans votre choix.

La correction des défaillances et la prévention des futures pannes

Le diagnostic automobile vous permet, comme susmentionné, de détecter rapidement les pannes au niveau de votre véhicule. Alors, si vous prévoyez parcourir un long trajet ou effectuer un voyage, il vous serait très utile. En effet, cela vous permettra d’avoir la certitude de rouler une auto en parfait état. De même, vous pourrez facilement repérer et rectifier les éventuels défauts électroniques.  

Par ailleurs, lorsque vous confiez cette tâche à un professionnel, il pourra mettre son expertise en œuvre pour trouver des solutions de réparations optimales. Au-delà de la réparation, il pourra prendre par le diagnostic pour vous fournir des mesures préventives contre les futures pannes.

Une optimisation des performances du véhicule        

Efficace et pratique, le diagnostic automobile ne vous permet pas uniquement de détecter les dysfonctionnements et de les réparer. En effet, il peut entrainer d’autres interventions pouvant optimiser les performances de votre voiture surtout lorsque vous l’achetez nouvellement.

La remise à zéro de l’indicateur de maintenance

Remettre l’indicateur de maintenance à zéro offre des avantages liés à la gestion de l’entretien de la voiture. En effet, cela vous permettra d’effectuer un calcul judicieux de l’autonomie moyenne de votre véhicule selon le nombre de kilomètres parcourus. De même, vous pourrez facilement éviter une éventuelle complication relative à la jauge.

La reprogrammation du calculateur moteur

Cette forme de reprogrammation vise à optimiser la puissance du véhicule sans s’intéresser aux pièces mécaniques. En effet, elle consiste à booster le logiciel du boitier électronique de commande de l’injection de 10 à 30 %. Par conséquent, la souplesse du moteur, la vivacité de la conduite et les montées en régime seront considérablement augmentées.

Le moteur serait alors moins sollicité, mais vous conduirez au même rythme. Par ailleurs, il faut souligner que cela vous permet également de réduire votre empreinte écologique puisque votre émission de gaz polluant serait considérablement en baisse.

La réinstallation des capteurs de valves électroniques

Le diagnostic vous permettra également de réinstaller vos capteurs de valves électroniques à temps. Ainsi, les pneus du véhicule ne risqueront plus d’être victime d’une éventuelle perte de pression.

Bien que visuellement, la livraison de marchandise paraisse assez facile, elle ne l’est pas pour autant. Car pour pouvoir exercer ce métier, une attestation de capacité de transport est requise. Quelle est cette attestation, et comment faire pour l’acquérir ? Découvrez tout cela, sans attendre, en poursuivant votre lecture.

Qu’est-ce qu’une attestation de capacité de transport ?

Un document indispensable à tout travailleur œuvrant dans le domaine du transport de marchandises. La capacité de transport est un ensemble de compétences exigées à toute personne œuvrant dans le métier de transporteur. Que ce soit pour un livreur à vélo, à moto ou en voiture, pour pouvoir exercer ce métier, il est indispensable à chacun de détenir son attestation.

Outre les salariés, chaque chef d’entreprise se doit aussi de détenir une attestation de capacité de transport. Faute de quoi, son entreprise ne verra jamais le jour, étant donné que ce document est demandé avec les papiers à fournir pour la création d’entreprise. Toutefois, il faut aussi noter qu’il existe deux principaux types de capacités de transport. On note pour cela, la capacité de transport léger et la capacité de transport lourd.

Comment détenir sa capacité de transport ?

Avant toute chose, sachez qu’il vous sera impossible de détenir une capacité transport lourd, sans passer par le léger. De ce fait, il est préférable de se concentrer d’abord sur ce dernier. Pour ce faire, sachez que vous devrez passer au moins 105 heures de formations pour avoir cette capacité de transport auprès des organismes agréés. Pour connaître les organismes agréés, prenez contact avec la DREAL de votre région. Une fois la formation effectuée, vous devrez alors passer par un examen final pour valider votre capacité professionnelle en transport léger.

Toutefois, vous pouvez aussi vous passer de cette formation. Mais pour cela, il vous faut détenir un bac pro en exploitation des transports ou un bac pro en transport, néanmoins, si vous avez géré une entreprise de transport public routier de marchandises pendant plus de deux ans. Vous pouvez aussi vous dispenser de la formation.

Pour la capacité de transport lourd, le procédé est presque le même. En effet, il faudra encore passer par une formation en capacité de transport de marchandises lourdes. Puis, il faudra valider votre formation par le biais d’un examen final, qui a généralement lieu début octobre. Et pareillement, vous pouvez aussi vous défaire de la formation en faisant valoir vos diplômes ou vos expériences professionnelles.

Les documents à préparer pour détenir sa capacité de transport

Pour préparer l’acquisition de sa capacité de transport de marchandises, différentes étapes doivent être respectées. Pour ce faire, il vous faudra commencer par adresser une demande à la DREAL de sa ville de résidence. Cette demande doit répondre aux diverses exigences requises, sous peine d’irrecevabilité. Ces exigences se composent d’un formulaire CERFA 11414, une photocopie de pièce d’identité, un justificatif de domicile et de situation face aux obligations du service national.

Après, il ne vous reste qu’à passer la formation et de valider votre examen final. Ce qui vous permettra de passer aux étapes suivantes.

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Pour pouvoir prétendre aux permis de circulation, il est indispensable de passer des examens théoriques et pratiques du code de la route. Si les conducteurs de deux-roues n’avaient pas besoin de passer le code auparavant, désormais, il s’agit d’une obligation légale pour tous les conducteurs d’engins de circulation motorisée. Il faut savoir toutefois que le code moto et le code voiture présentent des spécificités propres à eux. Découvrons donc leurs singularités.

La différence entre code moto et voiture : La formation

La première différence entre code moto et voiture se tient au niveau de leur formation. Tout d’abord, une formation au code moto nécessite à connaître certaines notions spécifiques propres au monde des deux-roues. Il s’agit principalement des thématiques suivantes :

• La circulation routière
• La route
• La prise du risque
• La trajectoire de sécurité
• Le conducteur
• Les autres conducteurs
• Les éléments mécaniques de sécurité du motard
• La règlementation générale
• Les équipements de protection et de sécurité des véhicules
• Les premiers secours
• Les règlementations liées à l’usage du véhicule en faveur de l’environnement

Au niveau du code voiture, la formation est beaucoup plus généraliste que spécifique. Elle comprend les thématiques suivantes :

• La circulation de la route
• Le conducteur
• La route
• La considération des autres usagers de la route
• Les premiers secours
• La sécurité des passagers et de la voiture
• L’environnement
• Les équipements du véhicule et sa mécanique
• Les règles pour prendre et quitter le véhicule
• Les autres notions

La différence entre code moto et voiture : le déroulement de l’épreuve

Déroulement de l’épreuve moto

L’examen du code moto est une épreuve avec les caractéristiques suivantes :

• Durée de 30 minutes
• 40 questions dont 10 sous forme de vidéos
• Accessoires : tablette + casque audio

Déroulement de l’épreuve voiture

• Durée de 30 minutes
• 40 questions dont 10 sous forme de vidéos
• Accessoires : tablette + casque audio

Pour chaque épreuve, vous devez au moins répondre juste sur 35 questions. 

La seule différence lors du déroulement de l’examen du code moto et du code voiture est les prises de vues. Bien entendu, lorsqu’il s’agit d’une moto, vous aurez à bénéficier d’une prise de vue au guidon de la moto et pareillement lorsqu’il s’agit d’une voiture.

La différence entre code moto et voiture : l’épreuve pratique

L’épreuve pratique code moto

L’épreuve pratique du code moto vise éventuellement à responsabiliser notamment les jeunes conducteurs afin d’améliorer le permis moto. De ce fait, l’incorporation de nouvelles mesures de sécurité a eu lieu, à savoir :

• Le feu de brouillard doit être allumé en plein jour
• Les équipements portés par l’usager doivent être certifiés
• Le moniteur doit s’entretenir avec le candidat mineur (16 ans) au permis A ainsi que ses parents

Quant à l’examen, il faudra passer par deux différents modules :

• L’épreuve plateau : Cette épreuve dure 10 minutes et se concentre sur les manœuvres suivantes :
  • Le déplacement de la moto sans l’aide du moniteur
  • La réalisation du freinage d’urgence
  • Le déplacement de la moto à allure réduite sans passager
  • Le déplacement de la moto à allure réduite avec un passager
  • La réalisation d’une déviation
  • La réalisation d’un slalom
• L’épreuve circulation : Cette épreuve dure 40 minutes et comprend les domaines suivants :
  • La prise d’informations
  • L’utilisation des commandes
  • La communication
  • L’analyse et la décision
  • La direction de la moto
  • L’utilisation de la chaussée
  • L’adaptation de l’allure
  • Le maintien des espaces de sécurité

Pour être validée à l’épreuve, vous devez alors avoir au moins 21 points/27 points.

L’épreuve pratique code voiture

Pour l’épreuve pratique du code voiture, vous devez réaliser les points suivants :

• Le test de vue
• Les vérifications intérieures et extérieures
• Le freinage de précision
• La manœuvre en marche arrière

L’examen quant à lui est noté sur 31 points et vous devez obtenir au moins 20 points pour être validé. 

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Le siège auto dos à la route est obligatoire pour les tout-petits. Aussi, il est conseillé de l’utiliser le plus longtemps possible. En effet, la position dos à la route a pour particularité d’être bien plus sécurisée que la position classique, c’est-à-dire face à la route. Bien que longtemps contesté, cet état de fait a été établi grâce à de nombreuses études avec crash test.

Le siège dos à la route réduit les risques de blessures graves en cas d’impact ou d’arrêt brusque. Voici tout ce que vous devez savoir sur le siège dos à la route.

Le siège auto dos à la route, qu’est-ce que c’est ?

Comme son nom l’indique, le siège auto dos à la route est orienté dans le sens inverse des sièges classiques. Apparus en Scandinavie dans les années 1960, ces sièges ont d’abord fait l’objet de nombreuses critiques. Pourtant, deux décennies plus tard, leur efficacité a été prouvée de manière incontestable, notamment grâce à l’exemple de la Norvège.

De nos jours, les sièges auto dos à la route sont obligatoires pour les plus jeunes bébés. Ainsi, les sièges auto de groupe 0+, aussi appelés « siège auto de naissance », doivent toujours être placés dos à la route. Ils sont conçus pour cela.

Quels sont les avantages du siège dos à la route ?

Il est considéré que les sièges auto dos à la route sont 5 fois plus sûrs que les sièges auto classiques. Et pour cause, lors d’un choc frontal ou d’un freinage brusque, les passagers orientés vers la route basculent en avant. Leur nuque se balance fortement.

Les adultes sont en mesure de résister aux impacts modérés (à condition d’être attachés). Cependant, il en est tout autre pour les enfants, et surtout les bébés. Leur nuque est encore bien trop fragile pour être exposée à une telle tension. Pour rappel, la grande majorité des blessures graves en voiture sont liées à un choc frontal, et non à un choc par l’arrière.

Avec un siège auto dos à la route, le choc frontal va simplement enfoncer l’enfant dans son siège. Sa nuque ne basculera pas. Contrairement à certaines idées reçues, un choc par l’arrière ne sera pas plus dangereux pour l’enfant. En effet, un tel choc a pour effet de pousser la voiture, et non de la stopper brutalement. Aussi, les accidents de ce type entraînent rarement des blessures.

Quels sont les sièges dos à la route les plus réputés ?

Pour bien choisir le siège auto dos à la route, l’idéal est de recourir à un fabricant réputé. C’est par exemple le cas de la marque Cybex, qui propose une large gamme de sièges auto de groupe 0+, 0+/1, 1/2/3 et 2/3. Les sièges auto de la marque Cybex constituent un gage de sécurité pour votre bébé.

Jusqu’à quand utiliser le siège dos à la route ?

La réglementation impose d’installer l’enfant dos à la route jusqu’à l’âge de 15 mois. Néanmoins, le plus longtemps sera le mieux. Il est préférable d’utiliser un siège auto dos à la route jusqu’à l’âge de 3 ou 4 ans. Ainsi, votre enfant sera bien protégé tant que son corps est encore fragile.

Pour les sorties avec bébé, voici 5 conseils à suivre.

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Depuis quelques années, les ventes de motos battent des records. Que ce soit pour le plaisir ou pour toute autre raison, l’évidence saute aux yeux. Les deux-roues prennent de plus en plus de place dans la circulation.

Vous recherchez un moyen de déplacement et vous vous demandez si vous devriez choisir une moto à une voiture pour réaliser des économies ? Cet article répond à votre préoccupation.

La moto, un moyen de déplacement aux nombreux avantages

Par rapport à la voiture, la moto reste, sur le plan économique, le bon choix. C’est l’une des raisons pour lesquelles certains usagers n’achètent que des deux-roues, cédant en ligne sur https://buybike.fr leurs plus anciens modèles. Un renouvellement sans cesse qui atteste leur attachement au guidon. Chez les concessionnaires, ces deux moyens de transport ne se vendent pas à un prix identique.

Le montant des deux-roues à l’achat se trouve généralement en dessous de celui affiché pour les autos. Bien entendu, la valeur monétaire de certains modèles de moto dépasse celle des quatre roues. Mais c’est seulement à l’achat, car lorsque vous commencez à l’utiliser, vous effectuez des économies au fil des années. Une épargne que vous ne réaliserez certainement pas avec une voiture.

Une moto consomme moins en carburation

Peu importe le modèle de moto pour lequel vous optez, même si son prix semble plus élevé que celui d’une voiture, vous dépenserez moins en carburation. En effet, la plupart des deux-roues consomment jusqu’à deux fois moins d’hydrocarbure que les autos.

Si vous devez brûler 4 litres d’essence pour une journée de course, avec votre moto, c’est 2 litres. Sur un mois, cela va sans dire que vous réaliserez plus d’économies !

La moto s’entretient facilement

Bien que la moto nécessite un entretien régulier, en prendre soin revient relativement moins cher qu’entretenir une voiture. De plus, vous n’avez forcément pas besoin d’un professionnel pour changer certaines pièces de votre deux-roues. Les pièces de rechange d’une moto sont également moins onéreuses que celles d’une voiture, et bien plus faciles à trouver.

Les avantages que la moto ne vous offre pas

Moins chère qu’une auto, facile à entretenir, faible consommation en carburant, etc. ce sont là quelques avantages d’une moto. À croire que la voiture n’offre pas de prérogatives. C’est évident que le deux-roues possède également des limites. La première, il n’est pas du tout pratique lorsque vous transportez sacs, valises, etc.

Quand vient le moment des vacances, vous aurez plus besoin d’un quatre roues, car ce véhicule dispose d’un coffre qui peut aisément accueillir vos affaires.

L’autre limite majeure de la moto reste son assise. Un deux-roues ne peut recevoir que deux personnes au plus. Cela signifie que vous ne pouvez pas vous déplacer avec toute votre famille. Un véritable handicap au moment des grandes vacances. De plus, le siège passager de la plupart des motos procure moins de confort.

En somme, pour des raisons économiques, le plaisir de conduire ou pour éviter les embouteillages, la moto reste votre allié numéro 1. Même si le deux-roues montre des limites dans bien de domaines, il demeure l’un des moyens de déplacement les plus tendances actuellement. Dans la mesure du possible, un bon compromis serait d’allier ces deux moyens de transport.

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Mieux qu’une voiture classique, une voiture hybride connaît un fort engouement depuis le lancement du tout premier modèle. Comme tous les modèles de voiture, un véhicule dit « hybride » peut avoir des avantages et des inconvénients. Faisons le point à ce sujet.

 Le fonctionnement d’une voiture hybride

Une voiture hybride fonctionne différemment des autres voitures. Il est à la fois électrique et écologique. Il fonctionne grâce à deux moteurs :

• Le moteur thermique.
• Le moteur électrique.

Les deux motorisations sont complémentaires et permettent au véhicule de réaliser des économies. La technologie hybride connait un franc succès grâce à son mode de fonctionnement.

Pour mieux comprendre, les deux moteurs ont chacun un rôle à jouer dans le démarrage du véhicule hybride :

• Le moteur électrique permet d’alimenter le véhicule lorsqu’il est à faible vitesse.
• Le moteur à essence ou thermique permet d’alimenter le véhicule lorsqu’il est à vitesse élevée.

Grâce à ces deux motorisations, une voiture hybride gagne de l’intérêt. D’ailleurs, il présente beaucoup plus d’avantages que d’inconvénients. Cela dit, même si elle demeure une alternative aux  véhicules polluants, une voiture hybride n’est pas encore très courante. Notons qu’on retrouve également :

• Des véhicules hybrides rechargeables.
• Des véhicules hybrides non rechargeables.

Evidemment, il existe une légère différence entre ces deux modèles :

• Un véhicule hybride non rechargeable récupère de l’énergie en phase de roulage.
• Un véhicule hybride rechargeable se branche sur une borne de recharge.

Un hybride fonctionnant par moteur essence et moteur électrique consomme un carburant qui passe en dessous de 30 km/h ou même jusqu’à 50 selon la capacité de la batterie.

En général, le moteur thermique entraine les roues de la voiture et se fait aider par le moteur électrique. Ce dernier agit généralement à faible vitesse et parfois, il fonctionne tout seul dans certaines conditions.

De ce fait, lorsque le véhicule s’arrête ou ne roule pas :

• Le moteur thermique n’est plus alimenté en carburant.
• Le moteur thermique entraine les roues grâce au moteur électrique.

Voiture hybride : confortable, écologique, économique

Une voiture hybride possède de multiples avantages. Il faut dire qu’elle gagner de l’intérêt sur le côté :

• Confort.
• Économique.
• Écologique.

Une voiture hybride constitue une bonne alternative pour :

• Réduire le taux d’émission de CO2.
• Réduire la consommation de carburant.

En effet, pour un hybride non rechargeable, on profite d’une réduction jusqu’à 30% de CO2. Pour un hybride non rechargeable, il représente jusqu’à 75% de moins en émission de CO2.

Les voitures hybrides sont donc respectueuses de l’environnement et consomment moins de carburant.

La conduite d’un véhicule hybride permet aussi de :

• Réaliser jusqu’à 23% d’économie de carburant voire plus s’il s’agit des courts trajets en ville.
• Apprécier une conduite confortable et silencieuse avec des manœuvres faciles à basse vitesse.
• Profiter d’un prix de revente élevé et d’une durée de vie largement étendue.
• Bénéficier d’un système de freinage par régénération.

Lorsque l’on freine, le véhicule récupère de l’énergie et en libère lorsque les freins sont enclenchés. Cette énergie permet alors de recharger gratuitement la batterie. Ce qui nous évitera de faire des arrêts si on effectue un long trajet.

Voiture hybride : quelques inconvénients à retenir !

Même si on parle bien de voiture hybride, elle est tout de même moitié thermique, moitié électrique. Cependant, sa principale source d’énergie est l’essence mais elle gagne en énergie lors des freinages. Par conséquent, elle n’est pas très utile qu’uniquement :

• En milieu urbain.
• A basse vitesse.

Donc, si elle dépasse une vitesse de 50 km/h, elle dépensera beaucoup plus de carburant et ne récupère pas de l’énergie.

Outre cela, il existe d’autres inconvénients tels que le :

• Frais d’entretien et assurance élevés.
• Perte d’espace notamment dans le coffre.
• Surpoids.
• Prix d’achat élevés.

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A moins que vous n’ayez jamais eu de voiture, vous savez sûrement que le contrôle technique est obligatoire depuis plus de 10 ans. Il s’applique pour les véhicules légers depuis 1992 et pour toutes les transactions de véhicules depuis 1986. Il doit être effectué sur toutes les voitures dans les six mois qui précédent l’expiration d’un délai de quatre ans à compter de la date de première immatriculation. Ensuite la périodicité à respecter est de deux ans. Vous trouverez tous les détails à cette adresse : https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F2878.

Le contrôle technique ça sert à quoi ?

Le prix du contrôle technique est en moyenne de 90 € sans contre-visite. Il est réalisé par des professionnels qui vont vérifier différents paramètres qui garantissent la sécurité de votre véhicule. Le freinage, la visibilité, les éclairages, la signalisation, la direction ainsi que les liaisons au sol seront testés. Mais ça n’est pas tout, le fonctionnement de la ceinture de sécurité et du klaxon, la fixation des sièges, l’ouverture et la fermeture des portes, du capot et du coffre seront également vérifiés, sans oublier les émissions de polluants ainsi que le niveau sonore de votre voiture. Le contrôle technique peut paraître contraignant mais il est néanmoins utile pour les conducteurs qui se soucient du bon fonctionnement de leur véhicule et souhaitent assurer leur sécurité ainsi que celles des passagers et des autres automobilistes.

La contre visite c’est quoi ?

Il est possible que vous n’obteniez pas votre Contrôle Technique du premier coup, c’est le cas pour 20% des usagers. Dans ce cas-là, une contre-visite vous sera demandée afin que vous puissiez procéder aux réparations des points défectueux signalés. Elle doit être réalisée dans un délai de deux mois suivant le premier contrôle. Une deuxième contre-visite pourra vous être imposée si tous les points défectueux n’ont pas été pris en compte. Le prix de la contre-visite, tout comme celui du Contrôle Technique, n’est pas fixé par l’Etat, il varie d’un centre à l’autre. N’hésitez pas à vous renseigner avant de prendre rendez-vous.